Maintenant que j’ai énoncé les quelques défauts trouvés à l’ouvrage, il ne me reste qu’à dire que ce livre est d’une qualité, d’une utilité sociale et d’une intelligence indéniables.
Plusieurs «angles morts» abordés par Conradi m’ont abasourdi, mais si j’avais à n’en choisir qu’un, c’est le chapitre intitulé «La dépolitisation de la violence sexuelle» qui m’a le plus donné à réfléchir. […]