Si elle a choisi ce titre pour son premier essai, c’est pour faire référence au risque de dérapage qui se présente si on néglige de regarder un enjeu de société sous tous ses angles. Il en va de la cohésion sociale, selon elle. C’est pourquoi elle s’est permise – non pas par mépris du Québec mais par amour, écrit-elle – d’apporter son grain de sel aux débats publics, notamment sur le féminisme, la violence sexuelle, la religion, l’immigration et les Première nations. «Je me situe dans la tradition des gens qui aiment la société, mais qui pensent qu’elle peut faire mieux, a-t-elle insisté en entrevue avec Métro. Je ne regarde personne de haut.» Zoom sur des sujets sensibles. […]
Alexa Conradi: «Je crois que la société peut faire mieux»
