Anne Archet s’en querisse

Dans le dernier numéro de Liberté, David Bélanger propose un article à propos du style d’Anne Archet.

« Dans la prise de parole de l’écrivaine, en vérité, depuis 𝐴𝑚𝑎𝑛𝑡𝑠 jusqu’à 𝑃𝑒𝑟𝑑𝑟𝑒 ℎ𝑎𝑙𝑒𝑖𝑛𝑒, en passant par sa 𝑉𝑖𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑖𝑐𝑜𝑟𝑛𝑒 (sur le web), on rencontre cette étonnante union du radicalisme et de la nonchalance, comme si elle n’en avait rien à faire de ce que nous pensions, qu’elle n’allait pas du tout essayer de nous faire changer d’idée, de position, de conviction, mais qu’elle allait nous rappeler l’évidence de notre aliénation – politique, économique et sexuelle. »

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