En parcourant l’ouvrage, pour lequel les co-auteures ont interrogé 3 250 personnes au Québec, on se demande forcément ce que l’on pourrait faire de plus, de mieux, comment on pourrait corriger certaines choses, abandonner certaines habitudes. Est-il trop tard pour bien faire? «Ce n’est pas parce que vous ne vous êtes pas préoccupées des finances à ce jour que vous êtes tartes, lance Mme Belleau. Mais vous pouvez limiter les dégâts.»
À la lumière de la lecture du guide, ne me demandez pas si j’aime, ne serait-ce qu’un peu plus, parler d’argent avec l’Homme. Not really. Mais je connais mieux mes forces – et mes lacunes. Tout comme celles de mon/nos comptes en banque!