Mais voilà, comme Andrea défendait l’idée que la femme, y compris quand elle fait l’amour, est victime d’une «oppression», Andrea s’est attirée la haine d’une grande partie de l’Amérique et est restée en France presque totalement inconnue. Personne n’avait envie de traduire ses ouvrages : trop extrêmes. Or voici qu’une maison d’édition canadienne —les éditions du Remue-ménage— a décidé de publier Les Femmes de droite, l’occasion de se pencher sur les idées de cette femme à la fois brillante et horripilante qui, outre-atlantique, était surtout connue pour être un monstre obèse.[…]