En effet, son grand mérite est d’interpeller les lectrices et les lecteurs sur la manière dont les modalités propres à la production universitaire féministe biaisent l’analyse sur les effets du croisement de la «race» et du genre. […]
Comme une analogie du mécanisme que les études féministes et de genre devraient engager à l’égard des femmes racisées, l’ouvrage ramène au centre les questionnements de ce domaine interdisciplinaire d’études encore à la marge en sciences humaines et sociales et il en démontre l’apport essentiel pour les repenser.