Féministe, la porno?

Pendant 15 ans, Julie Lavigne s’est penchée sur la représentation de la pornographie dans l’art féministe. Son nouvel essai, La traversée de la pornographie, démontre que la pornographie est loin d’être réservée aux hommes.

Depuis toujours, on a associé l’érotisme aux femmes et la pornographie aux hommes. Mais dernièrement, des films pornos « grand public », réalisés par des femmes, ont changé la donne: Romance (Catherine Breillat, 1999) et Baise-moi (Virginie Despentes et Coralie Trinh Thi, 2000).

C’est dans l’optique de vouloir comprendre ce qu’était l’érotisme et la pornographie que Julie Lavigne, professeure du département de sexologie de l’UQÀM et historienne de l’art de formation, a fait cet essai sur l’art féministe.

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