[Marie-Hélène Métivier] «C’est un récit très poignant, à couper le souffle, et qui est porté par une langue touffue, très lyrique, poétique, de laquelle on ressent vraiment toute la force de la résistance… Dès le départ, le côté très féministe est là et c’est ce qui est intéressant. Je crois que c’est ce qui montre justement un autre aspect de ces années terribles desquelles on a retenu beaucoup de récits masculins et peu de voix féminines.» [À 13:12]