En moyenne 6% des détenus au Canada sont des femmes. Et leurs conditions de détention ne sont pas forcément idéales pour une réinsertion, pour reprendre goût à la société. Comment montrer les dessous d’une réalité carcérale au féminin? Comment reprendre la parole lorsqu’on est prisonnière? La rencontre entre les arts et la prison, dans la région de Montréal, a commencé à lever les voiles d’un tabou. Il y a quatre ans, est né le projet Agir par l’imaginaire, initié par la société Élizabeth Fry du Québec et rejoint par l’organisme Levier/ Engrenage noir. Pour en savoir plus, lire l’article ci-joint.