Filles-marchandises

Dans Les filles en série, l’auteure analyse la sérialité imposée aux femmes, de tout temps, véritable carcan où le «moi» n’a guère de place. «Ces jumelles dont les mouvements s’agencent parfaitement, qui bougent en harmonie les unes aux côtés des autres […]. Filles-machines, filles-images, filles-spectacles, filles-marchandises, filles-ornements.» Perte d’identité, perte d’individualité. […]

Lire sur Nuit blanche