«Kink»: initiation théâtrale au BDSM

[…] Cette réflexion sur l’accord entre partenaires sexuels, notion vitale à l’ère du #MoiAussi, peut profiter à la société plus large, espère Pascale St-Onge. « C’est le pont qu’on veut faire entre nos pratiques dites alternatives et la sexualité de tout le monde. Le but du jeu n’est pas de convertir les gens. Mais chez nous, il y a une éthique par rapport au consentement. Et c’est ce qu’on veut partager. »

Ils ont toutefois établi leurs propres limites, quant à ce qu’ils étaient prêts à dévoiler de leurs expériences. « Plusieurs fois, la question s’est posée : à quel point ça vaut la peine de sacrifier notre pudeur pour le show ? » Ça en vaut le coup, dit-elle, afin d’éduquer. « Pour une société qu’on veut plus ouverte et tolérante, il faut que des spectacles comme celui-là existent. »

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