Kink ou le BDSM démystifié

Les deux créateurs du projet, Frédéric Sasseville-Painchaud et Pascale St-Onge (ce n’est pas un couple, prennent-ils soin de préciser), se sont connus à l’école de théâtre (lui en mise en scène, elle en écriture). C’est là qu’ils ont découvert qu’ils étaient tous deux adeptes et qu’est née l’idée de faire du BDSM une création théâtrale.

Objectif ? Au-delà du cuir et du latex, démystifier la pratique, en se concentrant sur l’« essence » de la relation entre les partenaires. « C’est la force du lien entre deux personnes qu’on trouvait intéressante, et pas tant la pratique en tant que telle », a expliqué Pascale St-Onge en entrevue la semaine dernière, à quelques jours de la première. Et cette « essence », c’est cela : une relation basée d’abord sur la confiance, la communication, l’expression de ses fantasmes, ses désirs, et enfin ses limites. Et vice-versa. Le tout dans le respect […]

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