« Là où je me terre » : la colère et la gratitude de Caroline Dawson

[…] La force de ce roman en grande partie autobiographique réside en ce que la colère n’y entame jamais la gratitude, et en ce que la gratitude n’y ramollit jamais la colère de constater que le confort des mieux nantis continue de s’édifier sur le labeur mal rémunéré de celles qui ne peuvent dire non. «Sous la propreté que ma mère faisait advenir, il y avait leur crasse.»

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