Annie Pullen Sanfaçon, co-directrice de JEUNES TRANS ET NON BINAIRES en renfort de cet article d’Isabelle Hachey dans La Presse. Pour lire l’article.
«Ces jeunes-là souffrent énormément. Pas parce qu’ils sont trans, mais parce qu’on ne reconnaît pas leur identité trans. La nuance est importante. Cruciale, même.
« Toutes nos recherches vont dans le même sens, a insisté Mme Sansfaçon. Ce qui rend les jeunes anxieux, dépressifs et suicidaires, c’est la discrimination et la violence qu’ils vivent. Ça n’a rien à voir avec leur identité de genre. »»