Dans son essai, Martine Delvaux consacre un chapitre à Playboy, dans lequel elle se questionne sur le choix du lapin comme symbole. «Le lapin se trouve un peu dans le no man’s land animal, quelque part entre l’animal domestique et l’animal sauvage, explique-t-elle. Ce n’est pas un symbole menaçant et c’est très habile de l’avoir choisi. Tout le monde trouve ça mignon, un lapin.»