Au Québec, la prise en compte des liens entre environnement et féminisme se traduit par des courants divers partageant des préoccupations antiracistes et décoloniales. Mot-valise constitué par les termes oikos, provenant du grec ancien et signifiant « maison », et féminisme, « l’écoféminisme ne se décline pas au singulier », souligne Marie-Anne Casselot, codirectrice de l’ouvrage Faire partie du monde : réflexions écoféministes, paru aux Éditions du remue-ménage en . On parlera donc des écoféminismes.