Comme on trouve un apaisement aux sanglots, une joie jaillit de ces deux livres roses que sont Adieu et Trente. Quelque chose de pétillant, une certaine extase, une fièvre qui naît de l’admiration portée à ces femmes célèbres, mortes ou vives. Comme un éclat de rire à se joindre à la farandole de ce que Marie Darsigny appelle la « sororité des condamnées » […]
Les filles, mortes ou vives
