L’œil triste et l’œil gai de Louky Bersianik

Roman de la mémoire intime autant que de la critique sociale, Eremo témoigne donc, bien que de façon moins spectaculaire que L’Euguélionne, d’une conception de la littérature ne pouvant faire l’économie du politique. Imaginer des fictions complètement détachées des oppressions de l’ici-maintenant aura toujours, de toute façon, été le luxe des puissants. […]

Lire sur Le Devoir

Plus…

Le terrible fantôme de Louky Bersianik

Mais cette fois ça n’a pas marché. Voilà que d’autres la reprennent et lui répondent. On la relit. L’œuvre réussit entre autres choses fascinantes ceci: elle nomme et analyse le problème de la disparition des textes de femmes, elle cherche des remèdes et… ainsi contribue à se rescaper elle-même. C’est pourquoi il me semble important de témoigner de sa présence, de ces moments où elle a été là. Pour moi et tant d’autres. Chercher sa planète positive, comme le dirait l’Euguélionne. Vous parler de ce que les livres de Bersianik font. […]

Lire sur Liberté

Plus…

De Platon à Homère. Eremo de Louky Bersianik

Je ne fus pas déçue. J’ai dévoré Eremo en quelques heures. Ce deuxième tome des Inenfances de Sylvanie Penn, publié à titre posthume, présente les moments marquants d’une fillette de huit ans, vécus au couvent d’un désert nommé Eremo pendant la Deuxième Guerre mondiale. De la colère dominicale de ne pas recevoir la visite de ses parents à la joie indescriptible d’avoir du steak haché au menu, toute la gamme des émotions de Sylvanie nous est transmise par une narratrice sensible, qui trace un portrait plus que charmant de ce personnage-enfant. […]

Lire sur Françoise Stéréo

Plus…

Inédit posthume

La très respectée Louky Bersianik, dont le titre du premier livre paru en 1976 a inspiré le nom de la librairie féministe L’Euguélionne, souhaitait faire paraître ce roman avant sa mort, ce que les Éditions du remue-ménage accomplissent aujourd’hui. […]

Lire sur La Presse+

Plus…