Juste pour le Kink : discussion autour de la (saine) littérature érotique

Quand on utilise les bons mots, les vrais mots, il parait qu’on peut tout dire… Même ce qui ne se dit pas par peur de choquer les bonnes gens ou encore ce qui nous gêne (mais qui est plus commun qu’on ne le croit). C’est ce qu’on fait les auteurs de KINK.

Au départ, KINK était une pièce de théâtre destinée à initier de façon poétique au fétichisme et du sadomasochisme. […] Le spectacle est aujourd’hui devenu un livre intitulé Kink : Initiation poétique au BDSM publié aux Éditions Remue-Ménage (2019).

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Érotissimo avec Caroline Allard : KINK, une poésie sadique

[Caroline Allard] C’est un livre qui s’appelle KINK initiation poétique au BDSM, donc là on se dit qu’on entre dans un espèce d’univers étrange, mais à la lecture, ce qui m’a vraiment frappée, c’est qu’au centre de ce livre-là, il y a une question que tout le monde devrait se poser : qu’est-ce que j’aime? […]

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Coups de théâtre en quatre pièces

[…] Il est question de fantasmes, de pulsions, de risques, de domination, de douleur, dans Kink, mais aussi de vulnérabilité, de bienveillance, de respect (notamment de soi-même), de communication. Il est surtout question, ici, de consentement.

Piquent-ils la curiosité en proposant une incursion aussi sincère que crue dans le milieu BDSM dans lequel elle et lui évoluent? Oui. Titillent-ils les sens en permettant au lecteur de les accompagner dans leur quête d’assouvissement jusque dans le donjon, par exemple? Pas du tout ou peut-être un peu, voire beaucoup, selon la personne qui acceptera de les y suivre.

Tour à tour lyrique et explicite, le texte de Pascale St-Onge et Frédéric Sasseville-Painchaud n’a rien de racoleur ni d’exhibitionniste. Il se lit plutôt comme une invitation consensuelle à jouer avec elle et lui pour mieux cerner sa propre curiosité érotique.

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Nouveauté | KINK

Initiation sensible et poétique au BDSM, KINK ouvre un espace pour démystifier notre rapport au pouvoir, à la sexualité et au fantasme. C’est aussi l’une des deux premières pièces de La Nef, notre toute nouvelle collection de théâtre.

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«Dans la peau de…» Marie-Claude St-Laurent, Marie-Claude Garneau et Marie-Ève Milot, codirectrices de la collection de théâtre féministe «La Nef»

Pourquoi pensez-vous qu’aujourd’hui, plus que jamais, il est temps de redonner vie à la collection de théâtre féministe aux Éditions du remue-ménage, dont le dernier ouvrage, Joie, était paru en 1995?

«Que ce soit avec le Théâtre de l’Affamée compagnie de création au mandat féministe, pour Marie-Claude S. et Marie-Ève, ou à travers sa thèse de doctorat portant sur les dramaturgies féministes pour Marie-Claude G., au cours des dernières années, nous avons toutes trois creusé nos démarches et affirmé notre engagement féministe.»

«En parallèle, nous avons assisté à une recrudescence de paroles féministes dans l’espace public, qui s’incarne aussi sur nos scènes. Et nous avons ressenti le besoin de créer un espace pour faire dialoguer ces multiples féminismes, d’en rassembler le plus possible, et surtout de les inscrire dans la lignée de leurs prédécesseures.»

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Renaissance de la collection de théâtre au Remue-ménage

[…] La collection s’intitule «La Nef», publie du théâtre engagé et féministe et est dirigée par Marie-Claude Garneau, Marie-Ève Milot et Marie-Claude St-Laurent, les auteures du livre La Coalition de la robe. Le nom La Nef fait référence à la pièce La nef des sorcières, mais il représente également un lieu d’appartenance, un espace de dialogue, qui rassemble et où il sera possible d’entendre la pluralité de la parole des femmes.

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Les Éditions du remue-ménage renouent avec le théâtre féministe

Nous sommes en . La parole des femmes gronde toujours. Sous cette impulsion, Marie-Claude Garneau, Marie-Ève Milot et Marie-Claude St-Laurent, autrices de La coalition de la robe (Remue-ménage, ), ont approché la maison d’édition avec l’idée de reformer cette collection perdue. « On sent que la pensée féministe revient au théâtre, qu’il y a un vent de changement », dit la chercheuse et codirectrice de la collection, Marie-Claude Garneau. « Il y a un intérêt pour se situer en tant que féministe dans les rôles d’autrice ou de metteuse en scène. »

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Marie-Claude Garneau se rappelle que les textes de femmes faisaient rarement partie des corpus lors de ses études théâtrales. « C’est important pour nous de s’inscrire dans le temps, de continuer ce qui a été fait, affirme-t-elle. Que les textes soient disponibles dans des établissements d’enseignement et dans les écoles de théâtre! On veut créer ce qu’on n’a pas eu. »

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