Entre devoir et désir

Dans Le Devoir, les recommandations de Josée Blanchette parmi lesquelles on retrouve Obscénica de Hilda Hilst, illustré par Andre Da Loba et traduit du Portugais par Claire Varin. Ici pour lire la chronique.

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Sur le radar de Claudia Larochelle : Obscénica

À l’émission « Il restera toujours la culture » sur Ici Première, Claudia Larochelle recommande Obscénica de Hilda Hilst, un recueil de récits illustré par Andre Da Loba et traduit du portugais par Claire Varin. Hilst est décrite comme étant tannante, transgressive, lucide et « d’une élégance crasse ». Ici pour écouter la chronique.

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Recension : La pornographie métaphysique et colorée d’Hilda Hilst

Dans Libération, Agnès Giard recense Obscénica, d’Hilda Hilst. Ici pour lire l’article.

« Native de Jaú, fille d’un artiste schizophrène, Hilda Hilst (1930-2004) est une des plus grandes écrivaines de l’histoire de la langue portugaise au XXe siècle. Mais ses livres ne se vendent pas. Trop expérimentaux, trop singuliers… Trop fous peut-être. Après trente ans d’une production ininterrompue de romans, de poèmes et de pièces qui raflent pratiquement tous les prix littéraires du Brésil, Hilda Hilst tente un dernier coup : pourquoi ne pas écrire des choses cochonnes ? »

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