Filles corsaires

Écrits sur l'amour, les luttes sociales et le karaoké

— Camille Toffoli

Postface de Marie-Andrée Bergeron

Filles corsaires

Écrits sur l'amour, les luttes sociales et le karaoké

— Camille Toffoli

Postface de Marie-Andrée Bergeron

Camille Toffoli croit que les serveuses de diners, les chanteuses country, les sad girls et les championnes de rodéo ont quelque chose de fondamental à nous apprendre sur les rapports de genre et les privilèges de classe. Filles corsaires construit une pensée qui a les deux pieds dans la vie, qui jette son dévolu sur les figures oubliées et les angles morts d’un certain féminisme universitaire.

Pourquoi le célibat volontaire, l’autonomie sexuelle et la non-maternité sont-ils toujours frappés de suspicion ? L’amitié peut-elle réellement lutter contre l’hétéronormativité ? Comment penser une politique de la solitude ? L’autrice investigue ces questions, et bien d’autres, à travers une série de portraits où les anecdotes côtoient les réflexions philosophiques. Une éthique féministe inconfortable qui se déploie quelque part entre les journées de travail en librairie, les soirées karaokés et les brunchs deux oeufs-bacon.

 

ISBN: 978-2-89091-759-0 2021 13 • 19 cm 120 pages En librairie

Camille Toffoli

Camille Toffoli est cofondatrice de la librairie féministe L’Euguélionne à Montréal. Depuis plusieurs années, elle collabore à titre d’essayiste, de critique littéraire et de chroniqueuse aux revues Liberté, Lettres québécoises, Spirale et Nouveau Projet.

  • Avant-propos : Écrire après les heures ouvrables
  • Bien en selle
  • Une impression de déjà-vu
  • Du désir pour Dick
  • De l'autre côté de la fenêtre
  • Des contingents de pleureuses
  • Courir après
  • Les amitiés radicales
  • Les p'tites madames et l'avenir du lien social
  • Les trajectoires spectaculaires
  • Avec les yeux du queer
  • L'été de la gorille
  • La bienveillance en extra
  • Lesbiennes radicales, safe spaces et pompons roses
  • Les solitudes choisies
  • Oeuvres cités
  • Remerciements
  • Postface Marie-Andrée Bergeron