De «filles de rue» à «filles dans la rue», donc, avec leurs corps, vivantes, puisque les seules filles qui ne risquent rien dans l’espace public sont celles, embaumées, qu’on voit sur les affiches publicitaires. Parce que «toujours, elles l’emporteront sur une armée de poupées», croit Martine Delvaux. […]