Recension

Celle-ci fait revivre de larges pans de la culture populaire des années 1980 et 1990, proposant du coup l’un des premiers récits nostalgiques à assumer ce socle sur lequel l’immigration s’est en partie construite. […] Caroline Dawson, en faisant le pari de se situer du côté des humilié·es, en se terrant avec elles et eux, en sortant de cette honte par l’écriture, restitue une voix à ses parents, dont le chant a pendant longtemps été cantonné à leur appartement. Elle prend également la peine d’ouvrir des tiroirs verrouillés par la mémoire collective québécoise.

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