En publiant chez l’éditeur féministe ces chroniques insolentes, les trois professeures de littérature délaissent pour un temps le style académique afin de disséquer la société dans ses travers sexistes et misogynes: le style libéré, moqueur presque satirique. Au-delà de l’objectif inévitable d’apporter sa pierre à l’édifice féministe pour l’égalité, ces chroniques insolentes représentent aussi la possibilité d’utiliser l’humour et la dérision afin de contrer les a priori sur les féministes. […]