Le début de la fin?

[…] L’écriture de Marie Darsigny rappelle sans équivoque l’angoisse de Nelly Arcan. Le croisement de l’anglais et du français, en plus de l’ajout de caractères en gras, nous dévoile la voix unique de l’auteure qui réussit à nous toucher avec un langage poignant et révélateur. Trente est ainsi une œuvre nécessaire qui confronte la société à ses propres valeurs et qui, je l’espère, permettra de la voir basculer du bon côté.

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