Les ménagères, et leur «travail invisible», ont été les grandes oubliées du mouvement féministe des années 1970. C’est ce qu’avance le livre Travail invisible. Portraits d’une lutte féministe inachevée, dirigé par Camille Robert et Louise Toupin et paru aux Éditions du remue-ménage. […] De plus, elles sont en progression dans le monde, comme l’établissent Camille Robert et Louise Toupin dans le texte d’introduction de l’ouvrage, qui fait un lien direct entre cette progression et les principes capitalistes.