Martine Delvaux et les boys’ club

« Moi, je suis optimiste, mais je ne suis pas non plus naïve. Je ne pense pas que les choses changent du jour au lendemain. Je pense que ces choses-là changent très lentement, qu’il y a des ressacs, que des fois ça s’arrête, puis qu’il faut recommencer. »

Lire sur Radio-Canada ICI Télé