[…] Trouvé plusieurs paragraphes sur l’âgisme dans le dernier essai, Le boys club, de Martine Delvaux, la féministe dont on parle le plus depuis deux semaines. « Arrêtés dans une jeunesse éternelle, les boys ne vieillissent jamais, l’apparition de cheveux blancs et de rides étant socialement valorisée, contrairement au sort fait aux femmes qui avancent en âge. […] Les hommes sont non seulement partout, mais ils sont éternels, du moins ceux qui sont en position de pouvoir. » Un livre brillamment rédigé, fort bien documenté sur tous les aspects des boys clubs, dont on ressort un tantinet ou très indigné(e)s. Et j’adore cette phrase : « Donald Trump est à lui seul un boys club. »