Un By by sans les « e »

C’est au lancement du livre Le boys club de Martine Delvaux à l’automne dernier que j’ai pris cet engagement : qu’en 2020, ma parole et mes convictions féministes soient exprimées à plus grande échelle, pas seulement par mes livres et mes conférences. Je voulais cesser de me retenir.

Oui je me retiens, je l’avoue, car s’il fallait que chaque fois que je suis en colère quand je constate que les femmes n’ont pas le droit de parole et que les boys’ clubs sont encore plus que jamais légion, j’écrive un texte sur le sujet, je consacrerais plusieurs heures par semaine à cette tâche. […]

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