L’APPROPRIATION CULTURELLE AU-DELÀ DE SLĀV ET DE KANATA

En entrevue avec Mélikah Abdelmoumen autour de son livre Baldwin, Styron et moi, le journaliste mentionne sa lecture tonifiante du livre Libérer la colère, dirigé par Natalie-Ann Roy et Geneviève Morand : « Nous avons discuté de la question de la colère, l’autrice et moi. Quel est son rôle dans le débat public ? J’ai pensé à cet essai féministe collectif, paru en 2018 et qui m’avait fait l’effet d’un tonic, Libérer la colère, aux éditions Remue-ménage. Soit, il est impossible de débattre avec une personne qui souffle son fiel dans nos cheveux, mais dans le souvenir que nous avons de ce souffle, dans la trace que ça laisse, il y aura sans doute quelque chose de durable, dit-elle. Oui, la colère a parfois sa place, et la garder sous vitre toujours est certainement bien noble dans une certaine tradition de débat rationnel, mais la noblesse cache parfois très mal le privilège de ceux qui en tiennent les ficelles. » Pour lire l’article.

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Suggestions culturelles de l’équipe

Audrey, directrice de production chez GO vous suggère de Libérer la colère avec ce recueil qui rassemble les témoignages, les coups de gueule et les réflexions d’auteures aux réalités variées. Geneviève Morand et Natalie-Ann Roy croient que si les femmes manquent de pratique, leur colère est nécessaire. Le livre est publié chez les Éditions du Remue ménage.

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Série La Fab | La colère: un tabou qui bâillonne les femmes

En partenariat avec La Fabrique culturelle, nous avons préparé une série de capsules vidéos mettant de l’avant le travail de nos autrices!

Mise en images par Chloé Charbonnier, notre vidéaste en résidence, cette toute première capsule explore le rapport des femmes à la colère à travers les réflexions de Geneviève Morand et de Nathalie-Ann Roy, les autrices qui ont dirigé le collectif Libérer la colère.

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Jours de colère

C’est au Québec qu’est paru le collectif Libérer la colère (en mars 2018 aux Éditions du remue-ménage), dans lequel des femmes de tous âges parlent de ce «calme» prescrit par la socialisation des femmes, et qu’elles se sont toujours elles-mêmes imposé pour réussir à «faire leur vie». Mais désormais, il n’est plus possible de rester calme. […]

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